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La finalité de la recherche sourcière :
Le forage Voir l'eau jaillir est un moment de grande joie. Pour cela le sourcier se doit de conseiller correctement le client sur les choix, entre autres, du foreur. Cela fait parti des facteurs déterminants car foreur et sourcier travaillent conjointement. Notons que de nombreux foreurs font appel à un sourcier avant de creuser. Seul le forage, est le dessein du sourcier. Les techniques de forage
Marteau fond trou : Cette méthode de forage utilise la percussion assortie d’une poussée sur l’outil qui se trouve en rotation. Pour cela un compresseur d'air délivre entre 25 et 30 bars. L’air comprimé, délivré au niveau de l’outil, actionne le marteau pneumatique, le refroidi et fait remonter les résidus de forage à la surface (cutting). Méthode adaptée pour la recherche hydrogéologique en terrains géologiques durs. Odex : Identique à la technique marteau fond de trou avec tubage à l’avancement. Ce système consiste à descendre le tubage et le train de tiges simultanément. le but étant de tenir les parois du forage afin qu'elles ne s’effondrent pas. Méthode utilisée dans un contexte géologique peu stable mais risquée car on tube avant de savoir si l'eau est présente. Tarière : le foreur utilise ici un outil de type « vis sans fin ». Adapté uniquement pour traverser des terrains meubles dans des aquifères peu profonds. Les risques d'un forage
Le sujet n'est pas tabou et j'en parle ouvertement avec mes clients. Lors d'un forage, avec ou sans sourcier, le "risque zéro" n'existe pas ! D'ailleurs aucun foreur ne peut garantir l'eau en dehors des systèmes hydrologiques particuliers que sont les nappes (alluviales, phréatiques....). Bien que le score de réussite soit considérablement augmenté grâce à l'intervention du sourcier, il ne peut pas garantir 100% de réussite sur un forage et peut se tromper. Il existe plusieurs raisons qui font que le sourcier peut, en toute bonne foi, faire son travail, avoir des ressentis avec les baguettes / pendule, et ne pas avoir d'eau dans le forage. La cause principale est une géologie difficile (argile, molasse, marnes, granite ...). Ma réflexion se porte aussi, dans ce cas, sur le fait que l'eau n'est soit pas à la profondeur estimée, mais plus profonde, soit que l'autosuggestion est la cause de l'erreur. C'est d'ailleurs pour cette dernière raison que je ne souhaite rien savoir avant de venir et faire ma propre étude, mais seulement utiliser mon propre ressenti. Le plus je serais neutre, le plus le risque d'autosuggestion est faible. Le sourcier reste un Humain. |
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